La Belle-Îloise est une entreprise française fondée en 1932, située à Quiberon , spécialisée dans la conserverie de poissons. Elle nous propose des conserves qui viennent sublimer nos repas .
Située à proximité du port de pêche de Quiberon, autrefois l'un des plus grands ports sardiniers de France, la conserverie la belle-iloise a été créée en 1932 par le Grand père de Caroline Hilliet : Georges Hilliet.
C'est lui également qui dota notre conserverie de ses premiers magasins de vente directe. Il nous a ainsi donné les moyens de nous affranchir des réseaux de distribution classiques, et donc de préserver notre savoir-faire et la qualité de nos produits, tout en nous assurant un contact direct et permanent avec nos clients. Depuis plus de 3 générations, notre famille souhaite offrir aux amateurs ce qui se fait de meilleur dans le domaine de la conserve de poissons. Nous n'utilisons que des matières premières de premier choix, préparées selon les plus savoureuses recettes. C'est pourquoi sardines, thons, maquereaux sont travaillés à la main dans le respect des traditions. Non par amour du passé mais parce que c'est la meilleure façon de travailler le poisson et de préserver sa saveur. C'est en nous appuyant sur ce savoir-faire que nous continuons aujourd'hui à imaginer de nouvelles recettes pour que la dégustation de nos produits soit toujours un grand moment de plaisir ! Sur tout le littoral breton, la sardine a occupé une place importante dès l'Antiquité, rythmant la vie et l'économie. Qu'elle abonde et l'on abandonnait pour elle la culture de la terre, qu'elle se fasse rare et de vastes souscriptions populaires soutenaient les ports sardiniers... Les premiers bancs apparaissaient au printemps à Saint-Jean-de-Luz puis remontaient le golfe de Gascogne... Les pêcheurs bretons descendaient alors en Atlantique pour les suivre et achevaient leur pêche à la Toussaint... Outre les pêcheurs, de nombreux métiers dépendaient en effet du poisson d'argent : armateurs, avitailleurs, écoreurs... Dans les conserveries se sont les femmes qui officiaient – elles y sont toujours nombreuses aujourd'hui –, maîtrisant le délicat savoir-faire nécessaire pour préparer la sardine sans l'abîmer. Il s'agissait parfois de brodeuses et souvent de saisonnières qui offraient leurs services de port en port, suivant la progression des pêcheurs. Le soudeur de boîtes était un autre métier saisonnier : partant du Portugal, il pouvait remonter le littoral à pied pour finir sa saison en Bretagne ! Pour se convaincre de la puissance économique de la sardine, il faut aussi se souvenir que c'est surtout pour elle que le chemin de fer arriva jusqu'à Quiberon en 1882... Texte Copyright : Conserverie la belle iloise